Il muro del Giardino dei Finzi-Contini: linea di fuga nella rottura del tempo
Impatience violence arbre déracinéI Flèche devant l’oiseau les ailes arrachéesI Les ailes arrachées la terre au fond de l’eau Traîne comme mes mains amoureuses et pâles La boue au fond de l’eau la vase nuageuse La substance évidente dont je sortirai Dont je m’échapperai car j’impose à l’espace Ce haut mur en tous sens qui compose ma mort Ce mur fuyant des jours éternels ma demeure. Paul Éluard, Le mur in Le lit la table.
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