sabato 18 agosto 2012
Il muro del Giardino dei Finzi-Contini: linea di fuga nella rottura del tempo
Impatience violence arbre déracinéI
Flèche devant l’oiseau les ailes arrachéesI
Les ailes arrachées la terre au fond de l’eau
Traîne comme mes mains amoureuses et pâles
La boue au fond de l’eau la vase nuageuse
La substance évidente dont je sortirai
Dont je m’échapperai car j’impose à l’espace
Ce haut mur en tous sens qui compose ma mort
Ce mur fuyant des jours éternels ma demeure.
Paul Éluard, Le mur in Le lit la table.
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deportazione,
leggi razziali 1938,
Romanzo Finzi Contini
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1 commento:
Ricordare, rammentare rimembrare
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